Pour faire émerger une danse située ici et maintenant, la danseuse fouille dans les sédiments de la mémoire et ses glissements de terrains : de lieux en lieux, elle déplace la mémoire des gestes, des gens et des pierres qui l’ont elle-même déplacée. Elle danse la terre jusqu’à l’os, jusqu’à y trouver peut-être un bout de bois façonné, une idole primitive, un petit morceau de présence…

Le nouveau solo de DD Dorvillier - réalisé en collaboration avec l'artiste sonore Sébastien Roux, le chercheur et cinéaste Mathieu Bouvier, et la créatrice lumière Madeline Best - se structure autour de quatre partitions de danse successives. Ces partitions ont émergé d'un rêve, après des séances de pratique en studio, des repérages sur site, et des recherches sur des lieux de fouilles archéologiques.
La danseuse danse, en creusant à travers la série de partitions, et une fois qu'elle atteint la fin, elle recommence. Le son enregistré lors de son premier tour de danses revient pour accompagner le second - un fantôme sonore conjuguant le présent avec le passé immédiat, alors qu'elle avance vers l’avenir.
—
Un partenariat Le Grand Huit et CCNN

Trois Colliers réunit deux danseur·euse·s, un musicien, des bouts de bois, des planches et des serre-joints. Ce spectacle explore le jeu comme coutume, en mêlant ludisme et observation des codes comportementaux. Peut-on, par exemple, en jouant brièvement, donner l'impression que ces jeux existent depuis toujours ? En schématisant les manières humaines — parler, bouger, construire, chanter — Trois Colliers questionne avec tendresse et ironie notre besoin de simplifier. Le sérieux peut-il être folklorique ? Une miniature peut-elle évoquer une coutume ? Réponses sur scène !
—
Un partenariat Le Grand Huit et CCNN

Un vase découvert lors de fouilles d’un ancien village a retenu l’attention d’archéologues autant que d’acousticiens et de linguistes car il était porteur de sons. Cette poterie présentait des sillons qui, au passage sur un tour de potier, révélaient l’existence de fragments de syllabes prononcées par le potier il y a plus de cinq siècles.


Pour Haut-fond, Céline Cartillier prend au pied de la lettre cette fausse anecdote scientifique, sans doute parce qu’elle aimerait qu’elle soit véridique.
La pièce est un récital pour et de la terre. La danse s’écrit à l’échelle de la main, celle qui touche, forme et déforme la matière. C’est une chorégraphie de gestes hypersensibles qui s’accompagne de chants - au sens antique du terme situé entre poème, incantation, envoutement.
Haut-fond joue sur la frontière entre le visible et l’invisible, à l’image de ces reliefs sous-marins qui affleurent à la surface de l’eau, comme sur le point d’émerger.
—
Un partenariat Le Grand Huit et CCNN

Danse sous haute tension ! Imaginé par Chloé Beillevaire et Steven Chotard Schlass explore la réaction des corps face à la pression – politique, sociale, climatique ou relationnelle. Dans un espace où mille épées de Damoclès, sous forme de couteaux suspendus, menacent de chuter à tout moment, les interprètes se battent contre une anxiété diffuse et permanente. Schlass est un défi, une provocation, une joyeuse mutinerie qui interroge sur la notion de consentement, le droit à la désobéissance, et l'anticonformisme. Entre équilibre et effondrement, la résistance devient un acte poétique et viscéral.
—
Dans le cadre de StudioD Émergence – Atelier De Paris et Caisse des Dépôts

Rendez-vous gratuits, joyeux et en mouvement, les Goûters Choré invitent enfants et adultes à découvrir le travail de répétition ou de création d’une compagnie en résidence ou d’Ambra Senatore. En partenariat avec des associations de parents d'élèves et amicales laïques (Rue Noire, Léon Say et Fellonneau), ces rencontres sont avant tout des moments de convivialité, offrant une occasion unique de se plonger dans le monde de la danse.

Le CCNN vous ouvre ses portes pour une journée de découverte et de créativité ! Plongez dans l’histoire de la chapelle des Capucins et explorez le CCNN, un espace dédié à la création chorégraphique. À l’occasion des 𝟰𝟬 𝗮𝗻𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗼𝗿𝗲́𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝘂𝘅, pénétrez dans les coulisses de la création grâce à des documentaires sur le travail de divers chorégraphes. Continuez l'expérience en créant votre propre danse lors de la répétition ouverte (18h) du bal participatif d'Ambra Senatore. Et clôturez votre journée par la soirée dansante (à 20h) concocté par l'amicale laïque de la rue Noire.

Pensée comme une forme spectaculaire et nomade avec Lise Fassier et Vincent Blanc, Pas commun est une danse qui se déploie partout. Ce programme en trois temps, conçu spécialement pour le jeune public, allie représentations, échanges et ateliers. Avec une subtile poésie, il explore le concept d’altérité, montrant comment la richesse de nos différences peut ouvrir de nouveaux horizons. Invités à réfléchir sur ce qui nous unit et nous distingue, les participant•es sont amené•es à créer un espace de dialogue et d’écoute.

Pourquoi, après 60 ans, le corps des femmes devient-il invisible dans notre société ? La chorégraphe Marion Blondeau s’empare de ce sujet tabou. Au plateau, dans un cadre intimiste, trois danseuses âgées de 60 à 70 ans mêlent danse, musique et performance pour dévoiler les corps : leur beauté acquise avec le temps, la mine de trésors, de forces, de résistance et de savoir-faire qu’ils sont devenus au fil des ans. Ainsi, loin des injonctions à une beauté juvénile, elles s’affirment physiquement de façon poétique et engagée.
—
Un partenariat le Lieu Unique et le CCNN

Tango argentin, madison … ou danse bretonne le dimanche après-midi, c’est vous qui dansez ! Que vous soyez danseur·euse débutant·e ou confirmé·e, venez vous déhancher, participer aux initiations (1h) et aux bals organisés par le CCNN en partenariat avec Les Enfants du Bal, Le Festival Eurofonik et Les Allumés du Tango.

Dans un noir profond, qui n’est pas sans se référer à la peinture de l’Outre-noir du grand Pierre Soulages, Gabriel Um construit un trio viscéral avec les musiciens Florent Gauvrit et Jean Gros, installant le public tout autour d’eux. Une quête d’une danse de l’instant, aux influences afro et contemporaines, sociales et conceptuelles, qui explore autant les systèmes de composition mathématiques et géométriques, que les alliances inédites entre les médiums que sont la danse, la musique, la création numérique et l’installation plastique.
—
Une coréalisation le TU-Nantes et le CCNN

Dans EXIT ABOVE, Anne Teresa De Keersmaeker explore la marche comme geste originel, créant un monde de mouvements et de suspensions. La pièce s'inspire de "Walking Blues" de Robert Johnson, avec des adaptations de Meskerem Mees, Jean-Marie Aerts et Carlos Garbin. De Keersmaeker, fidèle à sa rigueur légendaire, se laisse emporter par treize interprètes dynamiques. Les trajectoires des corps se frôlent, remplissant l'espace d'une effervescence communicative. La danse, ardente, exprime révolte, lutte, peurs et espoirs. Les pas s'entrelacent, traçant des motifs vivants, dévoilant une humanité joyeuse et vibrante d'aspirations..
—
Dans le cadre de Solstice, Pôle européen de production et de diffusion (Pays de la Loire, Fédération Wallonie-Bruxelles, Västra Götalandsregionen, Suède)
—
Avec la complicité du Cndc-Angers

Avec un groupe de skateur∙ses (dont des nantais·es) et de danseur∙ses, Mette Ingvartsen explore la vitesse du mouvement. Plus qu’un spectacle de prouesses virtuoses, Skatepark montre l’émergence d’une communauté dans un espace partagé où les générations, les cultures et les milieux sociaux se mêlent. Tous·tes tombent, se relèvent, repoussent les limites du possible, tout en chantant, dansant et chahutant joyeusement. Se dessine alors un îlot de résistance, où l’énergie punk fourmille, les corps s’émancipent et la solidarité prime.
—
Un partenariat le Lieu Unique et le CCNN

Après son solo An Immigrant’s Story, notre artiste associée explore dans ce trio la mémoire des corps pour interroger les histoires et les émotions qu’ils recèlent. Notre corps est comme une tapisserie, une courtepointe faite de fragments cousus ensemble et constamment déchiquetés par des milliers de ciseaux. Comment se défaire des mémoires tatouées dans nos cellules, nos muscles, nos tissus, nos organes, notre sang ? Comment reconquérir nos récits de vie ? Dans ce trio chorégraphique, Wanjiru Kamuyu interroge le corps dans sa capacité à se libérer de l’enchevêtrement des histoires héritées, traversées, refoulées. Par un voyage intérieur à travers les sensations, les sons, les lumières, elle explore le corps en mouvement comme espace de libération, de guérison.
—
Dans le cadre du festival Trajectoires 2025

Nouveauté ! Quatre rendez-vous pour explorer ensemble nos modes de vie et le présent à travers la danse. Conçus comme des espaces de conversation, d'échange et de partage, ces rencontres, imaginées avec la complicité des chercheuses et universitaires Pauline Boivineau et Nathalie Schieb-Bienfait, promettent de riches moments de dialogue et d'immersion dans la culture chorégraphique.


Entre trace et mémoire
Des écrits, des dessins, des notes toujours singulières, des photos, des vidéos... Que reste-t-il d’une œuvre, de son processus de création, et de sa réception critique et sensible ? Comment ces traces peuvent-elles être partagées et conservées ? En quoi témoignent-elles des processus de création et de leurs évolutions potentielles ? Artistes, interprètes et spectateur·ice·s, venez échanger et vous interroger sur les traces comme autant de signes qui accompagnent, prolongent et amplifient la création artistique.


Dans le cadre du festival 2025 Trajectoires

Chorégraphe, danseuse et performeuse, Agustina Sario explore la métamorphose et l'essence de l'identité dans son travail. Dans son rituel contemporain Solo n°3, elle entraîne le public dans un voyage introspectif où chaque geste se fait offrande et chaque mouvement invocation. Ses zapateos (frappes rythmées des pieds) et mouvements intenses résonnent avec la nature, tissant une connexion profonde entre le corps et les forces naturelles. Sur scène, des objets tels que tissus, bâtons, polenta et pierres se métamorphosent en éléments sensoriels et émotionnels, enrichissant l'expérience. Le spectateur, témoin de cette transformation, renoue avec cette pratique ancestrale qui nous rattache à nos racines les plus profondes.
—
Dans le cadre du festival Trajectoires 2025

Wanjiru Kamuyu est une artiste nomade, qui a vécu sur trois continents (africain, européen et nord-américain) et a traversé très personnellement les questions liées à l’immigration. Ce solo tout en mouvements, chants et paroles, et même un brin de stand up, explore les notions du chez-soi et de l’exil, et du regard de l’autre. Nourrie d’un témoignage autobiographique, la pièce n’en embrasse pas moins d’autres destins. Cette « histoire de migrant•e•s » collective se fait ainsi chambre d’écho engagée et sensible de toutes les personnes qui ont un jour eu à quitter leur ville natale et/ou leur pays.
—
Dans le cadre du festival Trajectoires 2025
Une coréalisation le Théâtre Francine Vasse - Les Laboratoires Vivants et le CCNN BR>

Acte de résistance et de réparation, Outsider va au-delà de la performance artistique : c'est une tentative de réponse face aux violences sexistes et sexuelles. Réunissant danseur•euse•s et DJ dans l'espace public, ce projet explore des danses improvisées enrichies par une formation approfondie sur ces problématiques. Leur danse se fait acte politique, invitant le public à une assemblée mouvante et puissante. Chaque geste célèbre la résilience, transgresse les normes et exprime nos pouvoirs d’agir déployés grâce au collectif. Outsider lance un vibrant appel à la prise de conscience et à l'action, illustrant la puissance transformative de l'art dans la lutte pour l’équité et l’épanouissement.
—
Dans le cadre du festival Trajectoires 2025

Envie d’une après-midi dansante et de défis endiablés ? Ne manquez pas Le Marathon de la danse du Festival Trajectoires ! Venez lookés, en forme et avec le sourire pour enflammer la Barakason ! Inspiré des marathons de danse des années 1920 et mixé à l’univers du clubbing et du bal, cet événement invite tous les âges à danser ensemble. Enfilez des paillettes et préparez- vous à danser non-stop ! Les chorégraphes Clémentine Maubon et Bastien Lefèvre ont préparé des défis chorégraphiques palpitants pour vous faire bouger pendant 4 heures. Cette course chorégraphique se conclura par une remise de prix pour les champion.e.s. Venez vous amuser, relever des défis et célébrer la danse sous toutes ses formes !
—
Dans le cadre du festival Trajectoires 2025
Une coréalisation La Soufflerie et le CCNN
En partenariat avec le Festival Waterproof, Rennes

Du quatuor de La rose de Jéricho, Magda Kachouche passe à la forme collective avec Balatata pour Trajectoires. Entourée de nouveaux acolytes, elle récidive en tant que maîtresse de cérémonie d'un rituel festif aux inspirations multiculturelles. Mariant traditions anciennes et modernité, Balatata est un appel du pied à toutes les origines, tous les âges, tous les corps. Ce nouveau bal populaire promet une liesse créatrice, transformatrice et pétulante. Ne manquez pas cette fête vibrante où l'art de la chorégraphe Magda Kachouche promet une célébration éclatante de nos richesses et de nos ressources.
—
Dans le cadre du festival Trajectoires 2025

Nouveauté ! Quatre rendez-vous pour explorer ensemble nos modes de vie et le présent à travers la danse. Conçus comme des espaces de conversation, d'échange et de partage, ces rencontres, imaginées avec la complicité des chercheuses et universitaires Pauline Boivineau et Nathalie Schieb-Bienfait, promettent de riches moments de dialogue et d'immersion dans la culture chorégraphique.


Explorations esthétiques : des femmes en prise avec le monde
À l’ère de l’Anthropocène, de nouveaux rapports à l’environnement s’inscrivent au cœur du travail artistique. Quels imaginaires liés à la nature peuplent l’histoire de la danse ? De la danse libre d’Isadora Duncan aux recherches d’Anna Halprin, le lien entre corps et environnement est ténu. Les milieux deviennent des acteurs des nouvelles formes de danse, notamment celles des femmes chorégraphes. Cette conversation avec Marion Blondeau et Agustina Sario explore le corps en dialogue avec les milieux environnants dans leur travail créatif.


Pour poursuivre la découverte des thématiques abordées, une bibliographie disponible ici

À quelques jours de la première de création, Ambra Senatore vous invite à la répétition publique de son spectacle. Mêlant danse et voix, elle explore poétiquement les mouvements de la vie, entre histoires personnelles et expériences collectives, en évoquant le départ, le retour, et l'engagement. Ce solo invite à une introspection sur le sens de notre existence et notre relation aux autres.

Dans une salle de classe, deux danseurs en survêt pop parlent au micro et bougent bizarrement, sans s’arrêter ! Loin du silence et de l’immobilité imposés aux élèves (Sch!), les deux énergumènes se lancent dans des acrobaties, des chants, des musiques, et des mouvements, dans un flux continu mi-improvisé, mi-écrit. Ioannis Mandafounis a conçu spécialement cette performance pour des salles de classe et un public adolescent. Une façon joyeuse d’interroger nos capacités d’écoute dans un monde de bruit et de fureur.
—
Dans le cadre de Solstice, Pôle européen de production et de diffusion (Pays de la Loire, Fédération Wallonie-Bruxelles, Västra Götalandsregionen, Suède)

What we talk about when we talk about skateboarding ou comment je suis devenu danseur retrace le parcours de Benoît Canteteau, de skateur à danseur, le chorégraphe y partage son histoire personnelle et propose des réflexions universelles sur la transformation et la croissance. Adaptable à divers espaces, cette création en cours incite à une introspection collective.
—
Dans le cadre de l’accueil studio, dispositif soutenu par le ministère de la culture / DRAC Pays de la Loire

Annabelle Loiseau et Pierre Bolo, chorégraphes de la compagnie nantaise Chute Libre, vous invitent à échanger autour de leur nouvelle création Brut(es), inspirée de l'univers du Krump et de la monstruosité. Cette pièce audacieuse fusionne la puissance brute du Krump avec une réflexion profonde sur l'humanité et la différence.
—
Dans le cadre de l’accueil studio, dispositif soutenu par le ministère de la culture / DRAC Pays de la Loire

Le danseur Nicolas Chaigneau se lance dans une recherche autour de la musique. Depuis 2012, il s'investit dans le projet Nino et constate rapidement que ses concerts provoquent chez lui un certain ennui. Pour y remédier, il propose d'explorer, seul ou accompagné, de nouvelles manières de mettre en scène la musique : chanter la danse, danser la musique, chanter la musique, danser le chant et jouer de la danse. En résidence au CCNN, il s'appuiera sur ses propres compositions ainsi que sur des œuvres existantes pour tenter de faire concert autrement.
—
Dans le cadre de l’accueil studio, dispositif soutenu par le ministère de la culture / DRAC Pays de la Loire

Dans le cadre de son partenariat avec l’école supérieure du Cndc-Angers, le CCNN accueille pour la première fois les 20 étudiant·es de la nouvelle promotion 2024-2027. Issus de multiples horizons culturels et géographiques, ces étudiant·es sont engagé.es pour trois ans dans cette intense formation d’artistes chorégraphiques, au contact de grandes figures de la danse d’aujourd’hui. Cette carte blanche donnera à voir des pièces courtes ou des extraits du répertoire contemporain, et peut-être de premières propositions scéniques personnelles, expérimentées depuis leur rentrée. Ce sera aussi l’occasion d’un temps d‘échange avec le public.
Ce partenariat a donné lieu à l’occasion des Curieux Jeudis de 2023 à la présentation de travaux personnels des étudiant·es de la promotion précédente, et à l'accueil de la pièce "Touchant, les yeux fermés, en regardant droit devant" d'Ivana Müller.
—
Un partenariat Cndc – Angers et CCNN

Féex signifie le vide en wolof, cette langue parlée au Sénégal et en Mauritanie. La chorégraphe belge d’origine congolaise Hendrickx Ntela, attrape ce moment suspendu, ce trou noir qui lui permet d’absorber toutes ses sensations, pour mieux repartir à l’assaut du geste créatif. Depuis sa grammaire originelle de krump et des danses urbaines, elle envisage de porter le mouvement dans d’autres contrées inexplorées et de s’aventurer en terrain inconnu, chargée des vibrations et de la constellation de cultures de sa troupe.
—
Dans le cadre de l’accueil studio, dispositif soutenu par le Ministère de la Culture/DRAC Pays de la Loire et de Solstice, Pôle européen de production et de diffusion (Pays de la Loire, Fédération Wallonie-Bruxelles, Västra Götalandsregionen, Suède).
Un partenariat Pick Up production, festival Hip Opsession et le CCNN