La danse comme pratique d’autodéfense et de réparation face aux violences faites à trop de corps ! Julie Nioche, chorégraphe qui travaille à la lisière du soin, de la création et du politique, interroge ici la capacité de la danse à soutenir les luttes des personnes qui font face aux violences sexuelles, sexistes, racistes… Pour mener ce travail, elle réunit cinq danseur.euse.s, un·e DJ et un groupe de personnes se sentant concernées, formant ensemble un corps pluriel, capable de délimiter un espace libre de paroles et de mouvements, résistant à l’ordre social dominant. Ielles partageront un temps spécifique d’accompagnement et d’information sur les travaux et outils existants dans les luttes contre ces violences en les croisant avec les méthodes d’improvisation de la chorégraphe et sa pratique de transe cognitive auto-induite. A ces couches successives viendront s’ajouter une pratique de chant et de voix, des musiques électro, le maquillage….
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Dans le cadre de l'accueil studio, dispositif soutenu par le ministère de la culture / DRAC des Pays de la Loire.

Au programme : fougue et énergie contagieuse ! Laissez- vous happer par la créativité de ce groupe d’ados qui transforme le CCNN en un véritable terrain de jeu à l’occasion de la fin du stage "Les Explorations dansées", mené par Vincent Blanc.

Marcel Gbeffa et Clément Duthoit s’inspirent librement de l’ère du Chthulucène pensée et théorisée par la philosophe des sciences Donna Haraway. À leur mesure, le chorégraphe béninois et le saxophoniste français formulent leur réponse aux enjeux planétaires : au cours de ce rituel, les deux artistes tendent la main au public dans une invitation à repenser leur rapport à l’autre et au Monde.
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Dans le cadre de l'accueil studio, dispositif soutenu par le ministère de la culture / DRAC des Pays de la Loire.
Avec la participation des étudiants du Pont Supérieur (Pôle d’enseignement supérieur spectacle vivant Bretagne - Pays de la Loire).

Au tout début de sa carrière, au mi-temps des années 2000, Ambra Senatore a multiplié les formes en solo, de Eda à Merce en passant par Altro Piccolo progetto domestico ou encore Maglie. Tous portaient déjà les marqueurs reconnaissables de la danse déployée depuis par la chorégraphe italienne : le rapport entre réalité et fiction, le désir de faire surgir le geste quotidien, le goût du burlesque, les jeux de décalage oscillant entre légèreté et surprises inquiétantes, la profonde humanité.

Aujourd'hui, elle se lance de nouveau dans cette forme spectaculaire en créant un objet hybride. Entre performance, spectacle participatif et écriture chorégraphique, le solo rassemble en un même geste des personnes croisées sur son chemin, des souvenirs, des objets variés et insolites… et un brin d’Italie aussi.

Automne, hiver, printemps, été : Marion Uguen travaille sur un projet polymorphe au long cours calé sur les énergies saisonnières ! L’an dernier, durant Trajectoires elle présentait Eaux souterraines, sa proposition hivernale autour de l’eau. La version printanière, Point de rencontre est un jeu de plateau chorégraphique et musical. Influencé par le minimalisme et l'art cinétique, il invite à un état contemplatif collectif.

Ayta c’est le cri, l’appel en arabe du dialecte marocain. C’est aussi un chant de célébration convoquant la liberté artistique et les douleurs intimes. Youness Aboulakoul signe avec sa dernière création pour six femmes-interprètes, un appel à la résistance et à la protestation. Ayta incarne le désir d’élévation pour ne plus plier sous la pression sociétale, pour résister à l’oppression physique et symbolique. La pièce s'inscrit dans la continuité de sa démarche chorégraphique : la question du corps et des violences dont il témoigne.
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Dans le cadre de l’accueil studio, dispositif soutenu par le ministère de la culture / DRAC Pays de la Loire.

Avec sa longue pratique des danses maghrébines, de la musique arabe-andalouse et sa formation de danseur contemporain, Filipe Lourenço offre un style chorégraphique unique qu’il continue de creuser avec Cheb, un quatuor masculin, composé de deux danseurs et deux musiciens. Au silence de Goûal (2021), il oppose une matière sonore très forte, oscillant entre mélodies traditionnelles et sonorités pop, rock et électro. Un format chorégraphique proche du concert où l’écoute entre les quatre hommes devient primordiale.
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Dans le cadre de l’accueil studio, dispositif soutenu par le ministère de la culture / DRAC Pays de la Loire.

Après Assis et Mascarade, Cédric Cherdel continue sa quête exploratoire en terres inconnues. Cinq danseurs entreprennent un voyage fantastique qui interroge le sens de nos expéditions contemporaines touristiques mais d’autres, plus anciennes, qui s’en allaient dompter « le sauvage ». La voix des interprètes, lancée dans des chants traditionnels ou des polyphonies, accompagnera ce voyage chorégraphique aux clins d’oeils plein d’humour, entre quête rocambolesque pour un groupe de touristes assoiffés d’aventures et de mojitos et périple fastidieux.
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Dans le cadre de l'accueil studio, dispositif soutenu par le ministère de la culture / DRAC des Pays de la Loire.

Place à l’imagination, à la spontanéité et à la force de conviction ! Les participants aux Explorations dansées investissent les espaces du Frac des Pays de la Loire et nous offrent le fruit de leur semaine passée en compagnie de Lise Fassier.

Les acteurs culturels des quartiers Viarme, Talensac et Hauts Pavés battent le rappel d’une journée festive et découvreuse à l’occasion des Journées du Patrimoine et Matrimoine. Au programme : visites guidées, concerts, jeux littéraires, danse…

Le CCNN vous ouvre ses portes pour des visite guidées de ses bâtiments (chapelle des Capucins) et pour la reprise de la pièce Jours étranges de Dominique Bagouet.
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En partenariat avec la Bouche d’Air, Pannonica, le Théâtre La Ruche.

Jours étranges est une des pièces majeures de Dominique Bagouet, créée en 1990. Catherine Legrand, qui avait participé à sa création, revisite cette chorégraphie pour une re-création avec le Collectif 7.8.3.
Au son de cinq chansons de l’album Strange Days des Doors, devant deux murs d’enceintes pour seul décor, les amateur.ice.s du collectif 7.8.3 interprètent pour nous une succession de tableaux qui brossent par petites touches les contours de leur identité collective.

Porté par la compagnie 29.27 - Gaëlle Bouilly et Matthias Groos, le Collectif 7.8.3. est un groupe d'adhérent.e.s qui est autonome dans sa manière d’envisager, de réaliser et de diffuser ses propres projets. En 4 ans, ils ont traversé les univers chorégraphiques de Matthias Groos, Laurent Cebe, Stéphanie Gaillard et Muriel Corbel. Cette année, grâce au dispositif Danse en Amateur et répertoire du Centre National de la Danse à Pantin, le collectif 7.8.3 a pu découvrir le répertoire de Dominique Bagouet avec Catherine Legrand.

— Spectacle présenté dans le cadre des Journées du Patrimoine et Matrimoine.

Gabriel UM poursuit son travail de recherche autour de son nouveau spectacle Massak Yada : trio de l’instant, qui puise sa source dans les origines du chorégraphe et qui s’écrit au fil de ses rencontres avec le public. A l’occasion de sa résidence au CCNN , il ouvre le processus de création à toutes celles et à tous ceux qui le souhaitent, dans une démarche d’échanges et de dialogues. Atelier, performance, exposition, invitation à danser…il vous invite à l’accompagner dans la naissance de sa danse.

Pierre Bolo et Annabelle Loiseau, chorégraphes hip hop de la compagnie nantaise Chute Libre confrontent leur propre langage chorégraphique au monument de la danse maintes fois revisité (Pina Bausch, Maurice Béjart , Angelin Preljocaj…), Le Sacre du Printemps de Stravinsky. Porté.es par des sonorités empruntées à la musique classique aussi bien qu’à l’électro, les dix danseur.euse.s aux énergies indomptables et exaltées nous entraînent dans une nouvelle floraison de gestes et de postures célébrant l’arrivée du printemps.
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In Bloom, un sacre du printemps est repris au CCNN à l'occasion d’une répétition publique avant la tournée européenne de la compagnie.

En Afrique, dans la région des Grands Lacs, l’eau a déserté la terre en une nuit. Où retrouver l’or bleu ? Avec des objets ordinaires, le chant et la danse, six acteur·rice·s du Burundi, du Rwanda et de la République Démocratique du Congo créent une fable sur l’eau, un récit de solidarité et d’espoir pour toutes les générations.
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Rencontre avec l’équipe artistique à l’issue de chaque représentation
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Atelier parents-enfants / Danse et chants africains – SAM 18 NOV 18H À 19H30
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Dans le cadre de la saison mobile du Grand T, Théâtre de Loire Atlantique

Faire du duo un quartet. Michel Kelemenis s’amuse des combinaisons à quatre, dans des jeux de face à face en toute proximité. Quatre danseurs - deux hommes, deux femmes - recomposent leurs attractions au fil de duos qui se forment, se déforment, se reforment. Le désir s’y expose aussi, son avènement, sa chute, ses rebonds, en dépit des sexes, dans des couples constamment renouvelés. Les rencontres aux combinatoires variées construisent aussi une composition abstraite et sensible, à fleur de peau et magnifiquement géométrique.
Dans le cadre de sa résidence au CCNN, Michel Kelemenis proposera trois rendez-vous d’étapes afin d’éprouver au plateau sa nouvelle création.
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Dans le cadre de l'accueil studio, dispositif soutenu par le ministère de la culture / DRAC des Pays de la Loire.

« Et si être candide, c’était être vraiment libre ? »
Dans un grand cube aux arêtes blanches, des hommes et des femmes dansent et se jouent de cette case comme de la norme. Alliant traditions africaines et danses urbaines, poésie et musique en direct, l’artiste nantais Gabriel Um va à la racine du geste, hors cadre.
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Dans le cadre de la saison mobile du Grand T, Théâtre de Loire Atlantique.
Avec le soutien du Théâtre Francine Vasse – Les Laboratoires Vivants dans le cadre d’une carte blanche donnée au Grand T et de Voisinages, dispositif soutenu par la région des Pays de la Loire pour encourager la diffusion des équipes artistiques.

Le CCNN ouvre les portes du Studio Jacques Garnier aux élèves inscrit·e·s en classes à horaires aménagés danse (collégiens et lycéens) du Conservatoire pour un coup de projecteur à leurs travaux de fin d'année. Un spectacle où l'on découvrira des créations originales complétées par l'Atelier répertoire guidé par Rosine Nadjar.
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En partenariat avec le Conservatoire de Nantes.